Assis à ma table.
Je me déclare la guerre.
Plutôt affable.
Il y aurait des choses à faire.
On dirait des fois.
Qu'on fait tout ça pour rien.
Les barricades sont là.
Le mortier, les murs malsains.
Je reconnais les armes.
Je sais les utiliser.
Il s'agit de mon erreur.
Laisse-moi la faire parfaitement.
J'ai érigé ce mur, c'était l'heure.
Je serai celui qui le faire tomber présentement.
J'ai une connaissance riche des mes propres défenses.
C'est beaucoup plus simple qu'on ne le pense.
Je déclare que rien n'est basé sur la chance.
J'exige un combat revanche.
Je décrète une impasse.
Je gardes pour moi mes réelles intentions.
Ces armes, j'en connais les traces.
Je les ai pratiquées, je suis bon.
J'en suis responsable de la conception.
C'est fascinant ce avec quoi on sympathise.
L'empathie, étant aussi de mise.
Il s'agit de mon erreur.
Laisse-moi la faire parfaitement.
J'ai érigé ce mur, c'était l'heure.
Je serai celui qui le faire tomber présentement.
Tends-moi la main.
Serres-moi fort.
Gardes-moi dans ta tête.
Laisse ma machine parler pour moi.
Laisse ma machine parler pour moi
Ceci est mon monde.
Je suis un prétendu leader mondial.
Il s'agit de ma vie qui gronde.
T'es le poney, je suis le cheval.
J'ai le pouvoir de penser comme je l'entends.
Il est grand temps de détruire les murs que j'ai construit récemment.
Tu fournis le mortier.
Tu remplis toute l'harmonie
Tu fournis le mortier.
J'ai érigé ce mur.
Et je serai le seul
Vous pouvez en être sur.
À le faire tomber sous vos gueules.
Aucun commentaire:
Publier un commentaire